En ces jours de mai où la lumière, comme souvent à Paris, tarde à venir, je retrouve des notes de notre dernier atelier « Printemps » qui me replongent dans des sensations vivifiantes. En guise de final de la deuxième séance, j’avais proposé aux participantes d’écrire un haïsha (haïku en résonance avec une photo) qui viendrait sceller…