Ardent lecteur de Baudelaire, l’auteur-compositeur qualifié ça et là de “rimbaldien” a distillé tout au long de sa carrière une écriture littéraire de la chanson. Mais pour ses deux premiers albums, désormais “cultes” et porteurs de son ADN poétique, c’est Bashō (1644-1695) que l’auvergnat avait choisi pour compagnon. Cette influence de la poésie haïku colore…