Avec Bashô [1], et surtout après lui, de nombreux maîtres du haïku font entendre leur voix jusqu’à nous : Hosaï[2], Shiki[3], Santoka[4], Buson[5]…Tous méritent qu’on les découvre. Mais il en est un qui me touche particulièrement : Issa[6]. Ses poèmes comme ses journaux intimes sont flamboyants de simplicité et de sincérité. Les lire ouvre le cœur, éveille…