l’art du haïku
agrandir sa vie avec les poèmes brefs
Plus petit poème codifié au monde (17 syllabes maximum), le haïku est né au Japon du XVII è siècle, et est toujours pratiqué, de manière très démocratique, dans l’archipel. On le retrouve dans les colonnes de quotidiens nationaux, à la télévision, dans les fêtes de famille… Il distille ainsi des valeurs issues du bouddhisme zen dans le quotidien : goût de la simplicité, de l’épure ; émerveillement devant la beauté du vivant et de la nature…
Ainsi, lire des haïkus classiques ou contemporains et s’initier aux codes de ces “nano-poèmes” – encore mal connus en Occident – incite à regarder autrement ce qui nous entoure. Qu’est-ce qui nous fait vibrer en tel endroit ? Qu’est-ce qui nous émerveille ou nous attriste, ou simplement “fait tilt” dans une telle situation ? Comment célébrer la beauté de la nature lorsque nous la goûtons ? Autant de micro-évènements qui, lorsque nous entrons en résonance avec eux, nous inspirent un nouveau regard sur l’existence.
Éveillez-vous à la poésie haïku
Les ateliers d’écriture et séminaires permettent de s’initier en groupe à cette écriture ramassée et puissante.
Mes livres consacrés à cet art poétique sont destinés à ceux qui veulent comprendre son inspiration et sa puissance existentielle.
Le podcast “17 syllabes” et les méditations crées pour l’app “Petit Bambou” invitent à écouter des haïkus, renouant ainsi avec la puissance orale de cette poésie.
Dans différentes publications, articles et videos, j’ai à cœur de transmettre cette philosophie de vie.
Oui, le haïku rend plus présent aux petites choses de la nature. Le papillon jaune et vert sur la feuille dorée, le chat posé au soleil qui attend le sourire de la vieille femme… Il ouvre des portes dans les souvenirs ; des odeurs, des situations surgissent…
Thérèse
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